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Le 11 mars 2003. 17 h 25. Je suis chez moi avec ma fille qui
fait ses devoirs. Le téléphone sonne. C’est le grand-père d’un ami de mon fils.
Il me dit : « Madame, votre fils s’est fait frapper par une voiture. Il est
étendu par terre mais on dirait qu’il n’a rien. Venez vite. L’ambulance va
bientôt arriver. » Je pars en courant avec sa sœur. Quand j’arrive sur les lieux
de l’accident, mon fils me regarde en me disant : « Maman, ne pleure pas et ne
panique pas; je vais bien. » À l’hôpital, un médecin lui fait passer des
scanners et, quand il reçoit les résultats, il me dit : « Madame, votre fils n’a
rien de grave. Il a une petite fracture au bassin et je vais lui faire des
points de suture sur le front. » Puis il nous donne congé et nous revenons chez
nous. Le premier mois, tout va bien mais ça se complique par la suite. Mon fils
se met à tomber par terre sans savoir pourquoi. Je consulte un médecin mais
celui-ci me répond que c’est peut-être une conséquence normale de l’accident. Au
cours du troisième mois, mon fils continue de tomber et, voyant qu’il se fait
mal, je me fâche et c’est en ambulance, cette fois, que nous nous rendons à
l’hôpital. Un médecin se décide alors à lui faire subir un examen par résonance
magnétique qui révèle que des ligaments et des muscles sont déchirés au niveau
du genou. Il me réfère à un spécialiste de l’hôpital Sainte Justine pour
entreprendre des exercices de physiothérapie destinés à renforcer ces muscles.
La physio se poursuit tout au long de l’année 2004 et, durant tout ce temps, il
est interdit à mon fils de pratiquer aucun sport. Au début de l’année 2005, nous
rencontrons un spécialiste venu d’Alberta pour obtenir un second avis médical en
prévision d’une opération. Mon fils continue la physio jusqu'à l’opération qui a
finalement lieu en octobre 2005. Elle dure cinq heures ! Mon fils reste à la
maison pendant les deux mois de la convalescence avant de reprendre les
traitements de physio qui se poursuivent en 2006 jusqu'à ce que le médecin
estime que le temps est venu de procéder à une seconde opération.
On est maintenant en 2012 la santé de
mon fils va bien il est rendu un homme maintenant
et je croit
qu'il a tout comprit de l'importance de toujours d'écouté maman et
le médecin.
Lors du dernier rendez vous le médecin étais fier de lui
il a fait beaucoup d'exercice ce qui lui permit a sa jambe de
retrouver sataille, Sa jambe ne pourras jamais être pareille a
l'autre jambe mais il peut refaire certain sport qui lui étais
défendu par le médecin et je suis fier de lui .IL lui reste une
opération a subir avec ce spécialiste âpres il sera transféré près
de la maison car il est rendu un adulte maintenant .
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